MoulineMouline

Y'a qu'un seul vrai moyen pour trouver des nouvelles traces, c'est de se retirer les oeillères. Et là, de nouveaux horizons s'ouvrent à nos croisières...
En effet, le fait d'avoir une vue à 180 degrés, libère le cheval de course qui est en nous.
Si tant est qu'avec nos gros sabots, on nous voit venir de loin.
Nous sommes le sanglier cherchant la truffe, le chien flairant la bonne piste, la souris sniffant l'herbe sur le PC...Nous sommes, nous sommes...

Concernant le pendule, on a déjà avancé d'une heure, et pour la baguette, on connait toutes les sources du coin.
Il ne reste plus que l'outil Nini ad hoc, application gratuite no limit.
Ce faisant, nouveau boyau du côté de Vaudancourt, où Zaza murmure à l'oreille des troncs d'arbre.

Le rythme était plutôt pas mauvais, et on roulait bien à 4 degrés de plus toutes les heures. Sachant qu'on est arrivé à 18 degrés, faîtes le calcul des 3 heures..
La nouvelle rocade, encore une, autour du château d'Alaincourt nous fera badger à mi-parcours.
Pour la suite, ascension de la côte de Buchet en la remportant haut la pédale, avec sa petite soeur à Breuil, où le après est toujours mieux que le avant.

C'est au sud de Boury que Nini nous a encore scotché, et la doublette Zaza/Spadman perdus à 3 kms de l'arrivée faisait pitié. Félicitation, on tape des deux gants sans doigts.

C'est en haut de la côte blanche et une bonne quarantaine de bornes plus loin ( le parcours)  que le mirage arriva.
On ne sait pas si c'est le sourire de Zaza ou les pattes poilus des garçons, mais le recrutement c'est maintenant.
Il nous semble qu'on a bien vendu notre business au vététiste de Neaufles qui passait par là. Et à 3 sur l'affaire, on espère bien qu'il viendra faire du pousse-cailloux avec nous.
C'est tout le mal qu'on lui souhaite...

Spadman.