Sortie du 29 Mai 2011
Heureusement que le retardateur a été mis sur l'appareil photo, sinon notre La Nonotte un-terre-national n'aurait pas été dessus, 20 minutes de retard, c'est abusé!
Heureusement que notre La Nonotte natio-génial était en retard, car nous n'aurions jamais rencontré Nini sur le parcours!
Car, qui dit fête des mères chez la belle doche, dit téléportation vers Beauvais la bonne pioche.
Avec comme première réjouissance, une vieille connaissance dans la forêt de Chaumont En Vexin, un circuit interdit jusqu'à lors, réouvert on sait pas pourquoi, en tout cas content d'y avoir laissé nos crampons comme souvenir.
Après une longue série de pif-paf à travers champs jusqu'à Bachivillers et quelques hésitations, les binômes se formaient bon gré mal gré suivant le dénivelé, avec certaines fois des situations insolites pris sur le vif par notre radar embarqué.
-Avec Brucix l'inquiétant et Gilles l'inquiété.
-Avec Spadman vigilant et Nini martyrisé.
-Avec La Nonotte se moquant mais Nini libéré.
Tous ces arrêts sur image montrent avec force nos différents visages selon les kms de chacun.
Le retour des 4 restants ne restera pas dans les annales, pas de chutes, pas de crevaisons, pas de jambes en coton. A part un tirage de bourre le long de la ligne de chemin de fer de Trie où, j'te double et j'te redouble.....ça piquait les cuisses quand même!
48 kms tout de même, du coup je laisse le soin à Nini de raconter la fin de son parcours. A toi Maestro de la pédale, fais nous entendre ta musique.
Spadman.
Pure coïncidence cette rencontre à Hérouval qui a obligé Spadman à réviser ses plans et à me confier les manettes pour un long bout de chemin commun. Très sympa. De mon côté, j'ai été obligé de réviser mon allure et me mettre faire une dose de VTT plus ardue que prévue en forêt de Chaumont.
Spadman commence à bien connaître du côte de Jouy. Aussi, je n'étais pas inquiet pour le retour quand nos chemins se sont séparés. Mon espion vous a même vu traversé la route à hauteur de Jaméricourt.
Quand à moi, j'ai voulu renouer avec un sentier qui, l'hiver, est impraticable. Maintenant, je suis définitivement fixé il l'est aussi l'été. En caricaturant, je dirais que le chemin de Serans de la semaine dernière est roulant. Pour preuve, obligé de mettre les pieds dans les ornières et le vélo sur la langue de terre qui reste. Résultat : J'avais tout juste les bras assez longs ...
Au final, 50 kms avec un étirement salutaire pour le dos. Car les chemins sont vraiment secs. (Ps : Mon enregistrement GPS n'a pas été concluant. Snif ...)
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