MoulineMouline

Toujours vivant...

C'est vrai que depuis quelques semaines, on roule plus que l'on écrit. Il est vrai aussi que nos vacances sont passées par là avec encore plein d'odeurs agréables dans le nez.

Mais revenons à nos jambons, ceux qui nous font avancer le dimanche, où nos jambes nous emmènerons vers des effluves de flaques d'eau moins accueillantes.

Trois à l'appel ce matin, prêt à être torturés par Nini ou canardés par l'ouverture de la chasse.

Pas mal de plaines en ce début de parcours, avec un passage devant un aéroport et un circuit de F1.

Mais qu'est-ce qui dit.

En fait, sur les hauteurs de Flavacourt, une piste herbeuse pour modélisme était monopolisée par des passionnés d'avions d'environ 2 mètres d'envergure, et un peu plus loin une piste pour voitures radio-commandées. Sympa, on alliait tourisme et cardio en même temps.

Mais pour l'heure, une moulinette dans notre cerveau d'un nouveau tracé devait intervenir immédiatement car des chasseurs étaient à l'approche en forêt. Que l'on traverse les frontières de l'Eure, l'Oise ou le Val d'Oise, nous étions cernés.

Sauvés un peu plus loin par un chemin, qui à la fin n'en n'était plus un, dur dur. Et quand Zaza râle c'est bon signe. Heureusement que celui d'après était sponsorisé par la Sanef, du billard.

Pour le retour, le ciel devenait de plus en plus noir. Et ce qui devait arrivé arriva.

Ôrage Ô déversoir Ô vitesses endormies, n'ai-je donc tant vécu que pour cette anémie. En fait, même sous un arbre il flottait et on était rincés.

Une quarantaine de kms pour cette sortie, avec quelques chemins découverts.

Et qui surement en amèneront d'autres.

Mais où vont-ils s'arrêter.

A la maison faire miam-miam.

Spadman