Sortie du 06 mars 2010
Deuxième sortie de la pouponnière, toujours en vue de la préparation de la Renardière 2010.
Comme dit le proverbe, "Il faut battre le fer tant qu'il est chaud". Aussi, même après une première sortie un peu laborieuse, Pierrick ne semblait pas trop y aller à reculons. En plus, il avait la pression. Son frère étant absent, il se devait d'imprimer le rythme. Et du rythme, il y en a eu avec ce petit échauffement sur la voie verte.
Ensuite, arrivés à hauteur de Château s/Epte, on va sur les hauteurs en évitant "LA" côte mais en empruntant la route. Pas facile de rouler l'après-midi : Faut gérer sa digestion ...
Ensuite, on n'y coupe pas pour atteindre Molincourt : Va falloir faire parler les cuisses et les mollets. En haut le paysage est bucolique surtout avec un magnifique soleil. Mais pas question de pique-niquer : ça caille - on est en plein vent glacial.
On se réfugie dans les sous-bois où je repère des idées pour les prochaines sorties.
D'un bois, on saute dans l'autre. Toujours trompeur le long du Château de Réquiécourt : On est obligé de pratiquer notre sport favori : le moulinemouline.
Dans le bois entre Réquiecourt et Authevernes, on croise des bûcherons qui ont donné de la tronçonneuse : le bois s'est bien éclairci.
Pour relier le haut de Vesly, on emprunte la côte situé entre le radar de l'ex RN14 et l'arrière du casseur : Je suis contraint de mettre pied à terre. Difficile de gérer les ornières du tracteur et empêcher que l'avant du VTT ne se lève.
PiePie commence à donner des signes de fatigue et passe en mode remorquage. Faut dire que le vent est fort et plus que vif ... surtout quand on n'a pas pris ses gants. Mais, il a tout de même la volonté de se faire les deux derniers bois.
D'abord, celui de Vesly qui en l'empruntant dans un autre sens nous conduit à emprunter une autre voie bien agréable et dépaysante et nous fait découvrir une descente vertigineuse qui donne sur Noyers. Une descente comparable à la renardière - Vous savez celles avec des marches ... Pas sûrs de nos forces pour faire la route en marche arrière, je note de regarder cela attentivement à la maison (Et à priori, renseignements pris et expérience déjà vécue à quelques centaines de mêtres en hors piste, cela devrait déboucher sur quelque chose)
Dans le bois de Dangu, bonne surprise : des travaux d'aménagement du bois vont certainement amener à la création de nouvelles travées. Que du bonheur !
Les derniers kilomètres sont toujours un peu harassants mais la capuche tient bon MDR
La persévérance commence à payer à raison de 33 kms à chaque sortie.
Comme dit le proverbe, "Il faut battre le fer tant qu'il est chaud". Aussi, même après une première sortie un peu laborieuse, Pierrick ne semblait pas trop y aller à reculons. En plus, il avait la pression. Son frère étant absent, il se devait d'imprimer le rythme. Et du rythme, il y en a eu avec ce petit échauffement sur la voie verte.
Ensuite, arrivés à hauteur de Château s/Epte, on va sur les hauteurs en évitant "LA" côte mais en empruntant la route. Pas facile de rouler l'après-midi : Faut gérer sa digestion ...
Ensuite, on n'y coupe pas pour atteindre Molincourt : Va falloir faire parler les cuisses et les mollets. En haut le paysage est bucolique surtout avec un magnifique soleil. Mais pas question de pique-niquer : ça caille - on est en plein vent glacial.
On se réfugie dans les sous-bois où je repère des idées pour les prochaines sorties.
D'un bois, on saute dans l'autre. Toujours trompeur le long du Château de Réquiécourt : On est obligé de pratiquer notre sport favori : le moulinemouline.
Dans le bois entre Réquiecourt et Authevernes, on croise des bûcherons qui ont donné de la tronçonneuse : le bois s'est bien éclairci.
Pour relier le haut de Vesly, on emprunte la côte situé entre le radar de l'ex RN14 et l'arrière du casseur : Je suis contraint de mettre pied à terre. Difficile de gérer les ornières du tracteur et empêcher que l'avant du VTT ne se lève.
PiePie commence à donner des signes de fatigue et passe en mode remorquage. Faut dire que le vent est fort et plus que vif ... surtout quand on n'a pas pris ses gants. Mais, il a tout de même la volonté de se faire les deux derniers bois.
D'abord, celui de Vesly qui en l'empruntant dans un autre sens nous conduit à emprunter une autre voie bien agréable et dépaysante et nous fait découvrir une descente vertigineuse qui donne sur Noyers. Une descente comparable à la renardière - Vous savez celles avec des marches ... Pas sûrs de nos forces pour faire la route en marche arrière, je note de regarder cela attentivement à la maison (Et à priori, renseignements pris et expérience déjà vécue à quelques centaines de mêtres en hors piste, cela devrait déboucher sur quelque chose)
Dans le bois de Dangu, bonne surprise : des travaux d'aménagement du bois vont certainement amener à la création de nouvelles travées. Que du bonheur !
Les derniers kilomètres sont toujours un peu harassants mais la capuche tient bon MDR
La persévérance commence à payer à raison de 33 kms à chaque sortie.
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