MoulineMouline

En ce jour de retour aux sources, dû aux petits coups de canif qu'on avait fait de notre contrat de mariage à notre territoire en allant voir ailleurs, notre collecteur de traces introuvables avait mis le cap sur le sud-est.
Car quand Nini se taquine la truffe, on est certain de revenir avec des souvenirs plein le popotin.
Et pour sûr, si aujourd'hui c'était le printemps, c'était aussi de la découverte des galeries d'la grimpette de Serans.

Les 15 premiers kms jusqu'à Montjavoult furent assez facile pour ce début de partie de jambes à l'air, plutôt frais du reste.
Pour la suite, la bonne nouvelle aura été de trouver un nouveau chemin à Montagny-en-Vexin. Par contre, pour la mauvaise, cela aura été la montée dans le bois de Serans.
Un passage plutôt épineux plein de ronces, où on avait plutôt l'impression d'être dans la jungle, où on a calé d'ailleurs!

Une fois en forêt, quelle trace mes aïeux qu'il nous avait trouvé là. Toutes les courbes de l'IGN y sont passées, avec un beau bourbier par la même occasion.
La hola de la sortie n'aura pas été pour déplaire à Zaza, et le beau soleil de Spadman dans la coulée de Beaugrenier non plus d'ailleurs.
La dernière percée en haut d'Hérouval n'aura pas été fructueuse, on ne peut pas gagner à tous les coups de nouveaux passages.

On aura quand même fait environ 35 kms ( le parcours), avec surtout plus de 500 mètres de dénivelé.
Car ce n'est pas évident de varier les plaisirs toutes les dimanches, surtout tous les 7 jours.
Mais les geeks de la pédale ont plus d'un tour dans leurs plateaux...

Spadman.